Fragment Grandeur n° 7 / 14 – Papier original : RO 222-2

Copies manuscrites du XVIIe s. : C1 : Grandeur n° 152 p. 39 / C2 : p. 60

Éditions de Port-Royal : Chap. XXIII - Grandeur de l’homme : 1669 et janv. 1670 p. 178 / 1678 n° 1 p. 174

Éditions savantes : Faugère II, 83, XI / Havet I.2 / Brunschvicg 339 / Tourneur p. 196-1 / Le Guern 102 / Lafuma 111 / Sellier 143

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Transcription savante (origine : Recueil des originaux)

 

 

 

 Je puis bien concevoir un homme sans mains mains 1 pieds

 2  teste, corps car ce n’est que l’experience qui nous aprend

    que la teste est plus necessaire que les pieds. Mais je ne

      puis concevoir l’homme sans pensée : ce seroit une pierre

   ou une brute.

 

 

Notes

 

1 Les copies C1 et C2 ajoutent « sans ».

2 Les copies C1 et C2 ajoutent « et ».

 

Premières éditions et copies des XVIIe - XVIIIe siècles et du début du XIXe

 

Ce fragment a été retenu dans l’édition de Port-Royal.

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Remarques

 

P. Faugère réunit (Laf. 759, Sel. 628), (Laf. 111, Sel. 143), la fin du texte de l’éd. Port-Royal Chap. XIII n° 1 (C’est donc la pensée qui fait l’être de l’homme, et sans quoi on ne peut le concevoir.) et Grandeur 4 (Laf. 108, Sel. 140) dans un même article.

Z. Tourneur a-t-il oublié une croix qui, selon ses principes d’édition, sépare la transcription des papiers successifs ? Il a omis de séparer ce texte du suivant (Grandeur 9).

 

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