Fragment Prophéties n° 19 / 27  – Papier original : RO 229-2

Copies manuscrites du XVIIe s. : C1 : Prophéties n° 358 p. 171 / C2 : p. 204

Éditions de Port-Royal : Chap. XV - Preuves de Jésus-Christ par les prophéties : 1669 et janvier 1670 p. 125  / 1678 n° 14 p. 126

Éditions savantes : Faugère II, 202, XXIII / Havet XVIII.21 / Brunschvicg 720 / Tourneur p. 287-2 / Le Guern 321 / Lafuma 340 / Sellier 372

 

 

 

 

 

Dans l’édition de Port-Royal

 

Chap. XV - Preuves de Jésus-Christ par les prophéties : 1669 et janvier 1670 p. 125  / 1678 n° 14 p. 126

       

 

Différences constatées par rapport au manuscrit original

 

Ed. janvier 1670 1

Transcription du manuscrit

 

 Non habemus Regem nisi Cæsarem 2, disaient les Juifs. Donc Jésus-Christ était le Messie ; puisqu’ils n’avaient plus de Roi qu’un étranger, et qu’ils n’en voulaient point d’autre.

 

 

Non habemus regem nisi Cæsarem. Donc Jésus-Christ était le Messie puisqu’ils n’avaient plus de roi qu’un étranger et qu’ils n’en voulaient point d’autre.

 

 

1 Conventions : rose = glose des éditeurs ; vert = correction des éditeurs ; marron = texte non retenu par les éditeurs.

2 La référence « Jean 19. 15. » a été ajoutée dans l’édition de 1678.

 

Commentaire

 

La glose est destinée à contextualiser la formule latine, et à permettre d’identifier le référent du pronom ils.