Preuves par discours III - Fragment n° 3 / 10 – Le papier original est perdu
Copies manuscrites du XVIIe s. : C1 : n° 40 p. 225 v° / C2 : p. 437 v°
Éditions de Port-Royal : Chap. XVIII - Dessein de Dieu de se cacher aux uns, et de se découvrir aux autres : 1669 et janvier 1670 p. 144-145 / 1678 n° 19 et 23 p. 142-143
Éditions savantes : Faugère II, 156, XXII et XXIII / Havet XX.17 et 14 / Brunschvicg 848 et 565 / Le Guern 409 et 410 / Lafuma 438 et 439 (série V) / Sellier 690
Dans l’édition de Port-Royal
Chap. XVIII - Dessein de Dieu de se cacher aux uns, et de se découvrir aux autres : 1669 et janvier 1670 p. 144-145 / 1678 n° 19 et 23 p. 142-143 |
Différences constatées par rapport au manuscrit original
Ed. janvier 1670 1 |
Transcription du manuscrit (Copies) |
23. Si la miséricorde de Dieu est si grande, qu’il nous instruit salutairement, même lorsqu’il se cache, quelle lumière n’en devons-nous pas attendre lorsqu’il se découvre ?
19. [Fondement 5 - Laf. 228, Sel. 260] 2 Mais que l’on reconnaisse la vérité de la Religion dans l’obscurité même de la Religion, dans le peu de lumière que nous en avons, et dans l’indifférence que nous avons de la connaître.
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Que si la miséricorde de Dieu est si grande qu’il nous instruit salutairement, même lorsqu’il se cache, quelle lumière n’en devons‑nous pas attendre lorsqu’il se découvre ?
Reconnaissez donc la vérité de la religion dans l’obscurité même de la religion, dans le peu de lumière que nous en avons, dans l’indifférence que nous avons de la connaître.
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1 Conventions : rose = glose des éditeurs ; vert = correction des éditeurs ; marron = texte non retenu par les éditeurs.
2 « Qu’on ne nous reproche donc plus le manque de clarté, puisque nous en faisons profession. »