Fragment Fausseté des autres religions n° 12 / 18 – Papier original : RO 455-1
Copies manuscrites du XVIIe s. : C1 : Fausseté n° 271 p. 107 v°-109 / C2 : p. 134
Éditions de Port-Royal : Chap. II - Marques de la véritable religion : 1669 et janvier 1670 p. 19 / 1678 n° 1 p. 17-18
Éditions savantes : Faugère II, 144, VIII / Havet XI.1 / Brunschvicg 491 / Tourneur p. 247-5 / Le Guern 200 / Lafuma 214 / Sellier 247
Dans l’édition de Port-Royal
Chap. II - Marques de la véritable religion : 1669 et janvier 1670 p. 19 / 1678 n° 1 p. 17-18 |
Différences constatées par rapport au manuscrit original
Ed. janvier 1670 1 |
Transcription du manuscrit |
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La vraie religion doit avoir pour marque d’obliger à aimer son Dieu. Cela est bien juste, et cependant aucune ne l’a ordonné. La nôtre l’a fait. Elle doit encore avoir connu la concupiscence et l’impuissance. La nôtre l’a fait. Elle doit y avoir apporté les remèdes. L’un est la prière. Nulle religion n’a demandé à Dieu de l’aimer et de le suivre.
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1 Conventions : rose = glose des éditeurs ; vert = correction des éditeurs ; marron = texte non retenu par les éditeurs.
Commentaire
Les éditeurs veillent à ce soient explicités des points sur lesquels Pascal se contente d’une allusion.