Fragment Grandeur n° 13 / 14 – Papier original : RO 157-2
Copies manuscrites du XVIIe s. : C1 : Grandeur n° 158 à 160 p. 39 v° à 41 / C2 : p. 61
Éditions de Port-Royal : Chap. XXIII - Grandeur de l’homme : 1669 et janvier 1670 p. 179 / 1678 n° 4 p. 175
Éditions savantes : Faugère II, 81, VIII / Havet I.4 / Brunschvicg 409 / Tourneur p.196-3 / Le Guern 108 / Lafuma 117 / Sellier 149
Transcription diplomatique (les additions sont signalées en couleur orange)
La grandeur delhomme + ^estSiVisiblequelle Lagrandeurdelhome^Setire mesmedeSamisere Car cequiest nature aux animaux ns lappelons misere enlhomme aujourdhuy pareilleaCelledes animaux dVne meilleure nature quiluy estoit propre autrefois . Car quiSe Trouuoit on depossedé , Consul , aucontraire tout le monde trouuoit quJl estoitheurx deLauoir esté , parc que SaCondition nestoitpas de trouuoit Perséé Simal heurx de nestre plus Roy parcequeSaCondition estoitdelestre touj ours quon trouuoit estrange deCequJl Supportoit Se trouue LaVie . Qui S affliger neS est peutestre J amais auisé de trois yeux , mais on est Jncons able de ?? nen point auoir .
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Commentaires
Addition à la ligne 2 : l’idée que la grandeur de l’homme est évidente d’elle-même, qui s’ajoute à celle qu’elle se conclut de la thèse contraire, a été trouvée et ajoutée en un second temps.
Ligne 11 : trouvoit a été oublié, puis ajouté en marge. C’est trois fois le même verbe trouver qui a été ajouté en différents endroits du texte.
Le corps du texte est terminé par un point.