Fragment Perpétuité n° 1 / 11 – Papier original : RO 247-3
Copies manuscrites du XVIIe s. : C1 : Perpétuité n° 320 p. 145 / C2 : p. 175
Éditions de Port-Royal : Chap. XXVIII - Pensées Chrestiennes : 1669 et janvier 1670 p. 261-262 / 1678
n° 46 p. 254
Éditions savantes : Faugère II, 205, XXIX / Havet XXIV.26 bis / Brunschvicg 690 / Tourneur p. 270-1 / Le Guern 262 / Lafuma 279 / Sellier 311
Dans l’édition de Port-Royal
Chap. XXVIII - Pensées Chrestiennes : 1669 et janvier 1670 p. 261-262 / 1678 n° 46 p. 254 |
Différences constatées par rapport au manuscrit original
Ed. janvier 1670 1 |
Transcription du manuscrit |
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Un mot de David ou de Moïse comme que Dieu circoncira leur cœur, fait juger de leur esprit. Que tous leurs autres discours soient équivoques et douteux d’être philosophes ou chrétiens, enfin un mot de cette nature détermine tous les autres, comme un mot d’Épictète détermine tout le reste au contraire. Jusque-là l’ambiguïté dure, et non pas après.
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1 Conventions : rose = glose des éditeurs ; vert = correction des éditeurs ; marron = texte non retenu par les éditeurs.
2 La différence provient des Copies C1 et C2. La référence « Deut. 10. 6. » a été ajoutée dans la marge de l’édition de 1678.
3 Édition de 1678 : « les ».
Commentaire
Les corrections des éditeurs se limitent à gommer certaines audaces d’expression. Seule la suppression du nom d’Épictète paraît significative.