Fragment Philosophes n° 8 / 8 – Papier original : RO 255-3
Copies manuscrites du XVIIe s. : C1 : Philosophes n° 199-200 p. 61 v° / C2 : p. 87
Éditions de Port-Royal : Chap. XXI - Contrarietez estonnantes : 1669 et janv. 1670 p. 167-168 / 1678 n° 1 p. 165
Éditions savantes : Faugère II, 92, VI / Havet VIII.4 / Michaut 535 / Brunschvicg 350 / Tourneur p. 215-4 / Le Guern 136 / Lafuma 146 / Sellier 179
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Transcription diplomatique
+ Stoiques Ilz concluent quon peut toujours ce quonpeut quelque fois Et que puisque le desir dela gloire faitbien faire a CeuxquJl possede quelque Chose , les autres le pourront bien aussy CeSontdes mouuements fiebureux quela Santé nepeut Jmiter . Epictete conclud de cequJl y a des Chrestiens constants queC hacun lepeut bien estre -----------
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1 Pascal a commencé à manquer d’encre après avoir écrit le mot Epictete. Ce mot est suivi d’un double trait tracé dans la même encre claire. Il semble que le deuxième trait barre en fait une lettre qui pourrait être un C. Z. Tourneur n’en fait pas mention.