Fragment Raisons des effets n° 15 / 21 – Papier original : RO 232-1
Copies manuscrites du XVIIe s. : C1 : Raisons des effets n° 127 p. 35 v° / C2 : p. 53
Éditions savantes : Faugère I, 220, CXXXIV / Brunschvicg 329 / Tourneur p. 190-3 / Le Guern 89 / Lafuma 96 / Sellier 130
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Transcription savante (origine : Recueil des originaux)
Raison des effets La foiblesse de l’homme scavoir bien beautez qu’on establit comme de n’est un mal qu’a cause de nostre foiblesse
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Premières éditions et copies des XVIIe - XVIIIe siècles et du début du XIXe
Ce fragment n’a pas été retenu dans l’édition de Port-Royal.
La copie Périer le reproduit p. 115 : (en rouge : les différences par rapport à C1 et C2)
Raisons des effets.
La foiblesse de l’home est la cause de tant de beautés qu’on établi, comme de savoir bien jouer du luth. Ne point jouer du luth n’est un mal qu’a cause de nôtre foiblesse.
Louis Périer a utilisé une des Copies.
1er éditeur : P. Faugère (1844).
Remarques
E. Havet ne tient pas compte de ce texte. Peut-être parce que son établissement est problématique.
Transcription des éditeurs :
P. Faugère et L. Brunschvicg : en deux paragraphes et ajoutent Ce au début du deuxième.
La faiblesse de l’homme est la cause de tant de beautés qu’on établit, comme de savoir bien jouer du luth.
Ce n’est un mal qu’à cause de notre faiblesse.
L. Lafuma et M. Le Guern : en un seul paragraphe sans rien ajouter.
La faiblesse de l’homme est la cause de tant de beautés qu’on établit, comme de savoir bien jouer du luth n’est un mal qu’à cause de notre faiblesse.
Ph. Sellier : en un seul paragraphe et en conservant la partie barrée (mise entre crochets) comme les Copies
La faiblesse de l’homme est la cause de tant de beautés qu’on établit, comme de savoir bien jouer du luth[. Ne point jouer du luth] n’est un mal qu’à cause de notre faiblesse.