Fragment Vanité n° 7 / 38 Papier original :  RO 79-3

Copies manuscrites du XVIIe s. : C1 : Vanité n° 21 p. 5 / C2 : p. 18

Éditions de Port-Royal : Chap. XXIX – Pensées Morales : 1669 et janv. 1670 p. 293 / 1678 n° 52 p. 291

Éditions savantes : Faugère I, 184 note, XV / Brunschvicg 318 / Tourneur p. 169-4 / Le Guern 17 / Maeda I p. 93 / Lafuma 19 / Sellier 53

 

 

 

 

 

Dans l’édition de Port-Royal

 

Chap. XXIX – Pensées Morales : 1669 p. 293-294 / janv. 1670 p. 293 / 1678 n° 52 p. 291

 

Différences constatées par rapport au manuscrit original

 

Ed. janvier 1670 1

Transcription du manuscrit

 

 Que l’on a bien fait de distinguer les hommes par l’extérieur plutôt que par les qualités intérieures ! Qui passera de nous deux ? Qui cèdera la place à l’autre ? Le moins habile ? Mais je suis aussi habile que lui. Il faudra se battre sur cela. Il a quatre laquais, et je n’en ai qu’un. Cela est visible ; il n’y a qu’à compter ; c’est à moi à céder ; et je suis un sot si je le conteste. Nous voilà en paix par ce moyen, ce qui est le plus grand des biens.

 

 

Il a quatre laquais.

 

 

1 Conventions : rose = glose des éditeurs ; vert = correction des éditeurs ; marron = texte non retenu par les éditeurs.

 

Commentaire

 

Ce texte est sans doute de Pierre Nicole.

Havet suppose dans son commentaire que le reste du texte dans lequel sont inclus les quatre mots de Pascal pourrait être aussi de Pascal, et non d’un rédacteur.