Prophéties V  – Papier original : RO 222-1

Copies manuscrites du XVIIe s. : C1 : n° 71 p. 285-285 v°  / C2 : p. 507 à 509 et 399 v° (Copie de Pierre Guerrier)

Éditions de Port-Royal : Chap. XV - Preuves de Jésus-Christ par les prophéties : 1669 et janvier 1670 p. 121-126  / 1678 n° 8, 9 et 16 p. 120-126

Éditions savantes : Faugère II, 278, XXI ; II, 325, XXVI / Havet XVIII.13 et 14, XXV.166 / Brunschvicg 727 et 761 / Tourneur p. 339 / Le Guern 452 / Lafuma 487 et 488 (série XVI) / Sellier 734

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Transcription diplomatique

(en couleur marron : texte non autographe

les additions de Pascal sont signalées en couleur orange)

 

 

 

 

1 Essai de plume.

2 Faute grossière du secrétaire.

3 Z. Tourneur ajoute trois points de suspension.

4 Z. Tourneur lit « Js » comme les Copies.

5 Cette référence est recouverte par une tache.

6 Z. Tourneur lit « Ps. 60 72 ».

7 Faute d’accord du secrétaire.

8 Z. Tourneur lit « en ». Lecture douteuse.

9 Est-ce une faute d’accord de Pascal, comme le transcrivent les Copies ? Il ne semble pas : l’irrégularité n’est qu’apparente ; on peut très bien avoir un cas de voussoiement compatible avec le singulier (par exemple dans un dialogue où l’un des interlocuteurs voussoie l’autre). Le singulier vient du texte latin que Pascal traduit, où le sujet de la phrase est numerus, qui est un singulier, c’est-à-dire nombre qui sera multiplié.