Preuves par discours III - Fragment n° 2 / 10 – Le papier original est perdu
Copies manuscrites du XVIIe s. : C1 : n° 39 p. 225 / C2 : p. 437 v°
Éditions savantes : Faugère II, 82, IX / Havet XXV.82 / Brunschvicg 399 / Le Guern 408 / Lafuma 437 (série V) / Sellier 689
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Transcription savante (origine : Copies C1 et C2)
On n’est pas miserable sans sentiment, une maison ruineé ne l’est pas, il n’y a que l’homme de miserable Ego vir videns.
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Premières éditions et copies des XVIIe - XVIIIe siècles et du début du XIXe
Port-Royal ne conserve pas ce texte.
La copie Périer ne le reproduit pas.
1er éditeur : V. Cousin le reproduit dans son Rapport (1843), p. 219, sans l’expression latine :
On n’est pas misérable sans sentiment ; une maison ruinée ne l’est pas ; il n’y a que l’homme de misérable.
Commentaire de V. Cousin : « Cette pensée n’est peut-être qu’une première ébauche de cette autre si connue : « L’homme est si grand que sa grandeur paroît même en ce qu’il se connoît misérable [...] » » (édition de Port-Royal, chap. XXIII-Grandeur de l’homme, n° 3).