Fragment Vanité n° 17 / 38 Papier original : RO 83-9

Copies manuscrites du XVIIe s. : C1 : Vanité n° 35 p. 81 / C2 : p. 20 et 21

Éditions de Port-Royal : Chap. XXIX - Pensées Morales : 1669 et janv. 1670 p. 291 / 1678 n° 48 p. 288.

Éditions savantes : Faugère I, 215, CXXII / Havet VI.38 / Brunschvicg 156 / Tourneur p. 171-2 / Le Guern 27 / Maeda I p. 142 / Lafuma 29 / Sellier 63

 

 

 

 

 

Dans l’édition de Port-Royal

 

Chap. XXIX - Pensées Morales : 1669 p. 291 / janv. 1670 p. 291 / 1678 n° 48 p. 288 

 

 

Différences constatées par rapport au manuscrit original

 

 

Ed. janvier 1670 1

Transcription du manuscrit

 

 Ferox gens nullam esse vitam sine armis putat. Ils aiment mieux la mort que la paix : les autres aiment mieux la mort que la guerre. Toute opinion peut être préférée à la vie, dont l’amour paraît si fort et si naturel.

 

Ferox gens nullam esse vitam sine armis rati. Ils aiment mieux la mort que la paix, les autres aiment mieux la mort que la guerre. Toute opinion peut être préférable à la vie, dont l’amour paraît si fort et si naturel.

 

 

1 Conventions : rose = glose des éditeurs ; vert = correction des éditeurs ; marron = texte non retenu par les éditeurs.

 

Commentaire

 

Ce texte était déjà prêt à être édité lorsqu’il a été copié dans le Portefeuille Vallant, p. 55v :