Fragment Vanité n° 24 / 38 – Papier original : RO 21-5

Copies manuscrites du XVIIe s. : C1 : Vanité n° 44 p. 91 / C2 : p. 23

Éditions de Port-Royal : Chap. XXIV - Vanité de l’homme : 1669 et janv. 1670 p. 184 / 1678 n° 2 p. 180

Éditions savantes : Faugère I, 209, XCVII / Havet II.1 bis / Brunschvicg 158 / Tourneur p. 172-2 / Le Guern 34 / Maeda I p. 175 / Lafuma 37 / Sellier 71

 

 

 

 

 

Dans l’édition de Port-Royal

 

Chap. XXIV - Vanité de l’homme : 1669 p. 184 / janv. 1670 p. 184 / 1678 n° 2 p. 180

  

 

 

Différences constatées par rapport au manuscrit original

 

Ed. janvier 1670 1

Transcription du manuscrit

 

 

 

 La douceur de la gloire est si grande, qu’à quelque chose qu’on l’attache, même à la mort, on l’aime.

 

 

Métiers.

 

La douceur de la gloire est si grande qu’à quelque objet qu’on l’attache, même à la mort, on l’aime.

 

 

1 Conventions : rose = glose des éditeurs ; vert = correction des éditeurs ; marron = texte non retenu par les éditeurs.

 

Commentaire

 

Le mot objet n’a pas tout à fait le même sens que chose : objet en langue classique désigne ce qui est offert à la vue, ce qui est appréhendé par les sens, et peut ainsi être désiré. Chose désigne de manière neutre un être séparé du sujet qui peut l’appréhender.