Pensées diverses VIII – Fragment n° 4 / 6 – Papier original : RO 247-2

Copies manuscrites du XVIIe s. : C1 : n° 190 p. 427 v° / C2 : p. 399 v° (copie de Pierre Guerrier)

Éditions de Port-Royal : Chap. XXVIII - Pensées Chrestiennes : 1669 et janv. 1670 p. 247-248 /

1678 n° 25 p. 240

Éditions savantes : Faugère II, 18 / Havet XXIV.18 ter / Brunschvicg 217 / Tourneur p. 136-2 / Le Guern 673 / Lafuma 823 (série XXX) / Sellier 664

 

 

 

 

 

Dans l’édition de Port-Royal

 

Chap. XXVIII - Pensées Chrestiennes : 1669 et janv. 1670 p. 247-248 / 1678 n° 25 p. 240

       

 

Différences constatées par rapport au manuscrit original

 

Ed. janvier 1670 1

Transcription du manuscrit

 

 Un homme qui découvre des preuves de la Religion Chrétienne est comme un héritier qui trouve les titres de sa maison. Dira-t-il qu’ils sont faux ; et négligera-t-il de les examiner ?

 

 

C’est un héritier qui trouve les titres de sa maison. Dira‑t‑il : Peut‑être qu’ils sont faux ? et négligera-t‑il de les examiner ?

 

 

1 Conventions : rose = glose des éditeurs ; vert = correction des éditeurs ; marron = texte non retenu par les éditeurs.

 

Commentaire

 

L’édition de Port-Royal indique lourdement le sens symbolique du fragment de Pascal. Marie Pérouse interprète l’addition comme une preuve de recherche de la clarté.