Fragment Excellence n° 4 / 5 – Papier original : RO 374-3
Copies manuscrites du XVIIe s. : C1 : Excellence n° 241-242 p. 85 v° / C2 : p. 113
Éditions savantes : Faugère II, 316, IX / Havet XXV.173 / Michaut 604 / Brunschvicg 549 / Tourneur p. 233-3 / Le Guern 180 / Lafuma 191 / Sellier 224
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Transcription savante (origine : Recueil des originaux)
Il est non seulement impossible mais inutile de connoistre dieu sans J. C. Ils ne s’en sont pas eloignez mais aprochez, Ils ne se sont pas abaissez mais 1 quo quisque optimus eo pessimus 2 si hoc ipsum quod sit optimus 3 ascribat sibi --------- |
Notes
1 P. Faugère ajoute trois points de suspension après mais et note : « Phrase interrompue ». Faugère a probablement été influencé par les Copies. Il n’a pas vu que Pascal avait ajouté cette dernière phrase après avoir écrit le texte latin (voir la transcription diplomatique). Ces points de suspension ont été repris par Havet, Michaut, Brunschvicg, Lafuma et Le Guern.
2 C1 : « quo quisque optimus eo possimus » ; C2 : « quo quisque optimus eo pessimus » (possimus corrigé pessimus par le réviseur) ; Fau et Havet : « quo quisquam optimus est pessimus » ; Mi : « quo quisquam optimus est pessimus » ; Br : « quo quisquam optimus est pessimus » ; Laf : « quo quisque optimus eo pessimus » ; LG : « quo quisque optimus eo pessimus » ; Sel : « quo quisque optimus eo pessimus ».
3 Havet et Brunschvicg : « quod optimus est adscribat sibi ». Remarque : les formes adscribat et ascribat sont équivalentes.
Premières éditions et copies des XVIIe - XVIIIe siècles et du début du XIXe
Port-Royal ne conserve pas ce texte.
La copie Périer ne le reproduit pas.
1er éditeur : P. Faugère (1844).