Fragment Soumission et usage de la raison n° 23 / 23  – Papier original : RO 247-5

Copies manuscrites du XVIIe s. : C1 : Soumission n° 236 p. 83 v° / C2 : p. 111

Éditions de Port-Royal : Chap. V - Soumission, et usage de la raison : 1669 et janvier 1670 p. 47  / 1678 n° 1 p. 50

Éditions savantes : Faugère II, 347, I / Havet XIII.1 / Brunschvicg 267 / Tourneur p. 232-1 / Le Guern 177 / Lafuma 188 / Sellier 220

 

 

 

 

 

Dans l’édition de Port-Royal

 

Chap. V - Soumission, et usage de la raison : 1669 et janvier 1670 p. 47  / 1678 n° 1 p. 50

 

 

Différences constatées par rapport au manuscrit original

 

Ed. janvier 1670 1

Transcription du manuscrit

 

La dernière démarche de la raison, c’est de connaître qu’il y a une infinité de choses qui la surpassent. Elle est bien faible si elle ne va jusque-là.

 

 

La dernière démarche de la raison est de reconnaître qu’il y a une infinité de choses qui la surpassent. Elle n’est que faible si elle ne va jusqu’à connaître cela.

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Que si les choses naturelles la surpassent, que dira-t‑on des surnaturelles ?

 

 

1 Conventions : rose = glose des éditeurs ; vert = correction des éditeurs ; marron = texte non retenu par les éditeurs.

 

Les Portefeuilles Vallant ont conservé une phrase du texte, p. 54 :

 

 

Transcription de la première phrase : « il y a une infinité de choses qui surpassent la raison ».

Une copie du fragment Soumission 16 (Laf. 182, Sel. 213) est transcrite immédiatement après, sans séparation, comme pour n’en faire qu’un seul texte.

 

Commentaire

 

L’argument a fortiori a disparu dans l’édition de Port-Royal.