Fragment Soumission et usage de la raison n° 18 / 23  – Papier original : RO 169-5

Copies manuscrites du XVIIe s. : C1 : Soumission n° 235 p. 83 v° / C2 : p. 110

Éditions savantes : Faugère II, 214, IV / Havet XXV.94 bis / Brunschvicg 811 / Tourneur p. 231-3 / Le Guern 173 / Lafuma 184 / Sellier 215

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Transcription savante (origine : Recueil des originaux)

 

 

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       On n’auroit point peché en ne croyant

         pas J. C. sans les miracles.

 

 

 

Premières éditions et copies des XVIIe - XVIIIe siècles et du début du XIXe

 

Ce fragment n’a pas été retenu dans l’édition de Port-Royal.

La copie Périer ne le reproduit pas.

1er éditeur : V. Cousin, Rapport..., 1843, p. 235 :

On n’auroit point péché en ne croyant point J.-C. sans les miracles : Vide an mentiar (Msc. p. 169.)

V. Cousin intègre dans le fragment l’expression latine qui est transcrite à la suite du fragment dans les Copies. C’est aussi ce que feront L. Lafuma et M. Le Guern dans leurs éditions respectives. L. Lafuma pensait que cette expression avait disparu pendant la préparation du Recueil. Nous avons réétudié ce cas à la lumière des Copies et d’une reconstitution partielle de Pol Ernst. Voir cette étude.

 

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