Fragment Transition n° 4 / 8 – Papier original : RO 347 r/v°, 351 r/v°, 355 r/v°, 359 r/v°
Copies manuscrites du XVIIe s. : C1 : Transition n° 248 à 257 p. 91 à 99 v° / C2 : p. 117 à 129
Éditions de Port-Royal :
Chap. XXII - Connoissance générale de l’homme : 1669 et janv. 1670 p. 171-178 / 1678 p. 168-174 (chap. complet)
Chap. XXXI - Pensées diverses : 1669 et janv. 1670 p. 331-335 / 1678 n° 27 p. 326-330
Éditions savantes : Faugère II, 63, I ; II, 68, II ; II, 75, II / Havet I.1 / Brunschvicg 72 / Tourneur p. 236-1 / Le Guern 185 / Maeda I p. 219 / Lafuma 199 / Sellier 230
Transcription diplomatique
(Les additions sont signalées en couleur orange)
RO p. 348 (347 v°)
1 Lecture difficile.
2 Graphie très particulière du mot et que Pascal utilise parfois. On la retrouve par exemple dans les papiers RO 23-1 (Vanité 23 - Laf. 36, Sel. 70 : dans le divertissement et dans la pensée) et RO 70-1 (Misère 9v - Laf. 76, Sel. 111 : doute et suspension).
3 Pascal pensait ajouter un commentaire après idée imparfaite, mais il s’est ravisé et a barré l’ensemble du paragraphe.
Genèse de la rédaction du texte
Voir Yoichi Maeda, “Le premier jet du fragment pascalien sur les deux infinis”, Études de langue et littérature françaises, Tokyo, Hakusuisha, n° 4, 1964, p. 1-19.