Fragment hors Copies n° 20V RO 103-1 r° / v°

Copies du XVIIIe s. : copie Périer n° 20V p. 100

Éditions du XVIIIe s. : Desmolets (1728) p. 305

Éditions modernes : Faugère II, 372, XXXV ; I, 177, II / Havet XXV.189 et 1 / Brunschvicg 658 et 104 / Tourneur p. 25-3 / Le Guern 728 / Lafuma 937 et 938 / Sellier 763

 

 

 

Quand notre passion nous porte à faire quelque chose nous oublions notre devoir. Comme on aime un livre on le lit lorsqu’on devrait faire autre chose. Mais pour s’en souvenir il faut se proposer de faire quelque chose qu’on hait et lors on s’excuse sur ce qu’on a autre chose à faire et on se souvient de son devoir par ce moyen.

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Les figures de l’Évangile pour l’état de l’âme malade sont des corps malades. Mais parce qu’un corps ne peut être assez malade pour le bien exprimer il en a fallu plusieurs. Ainsi il y a le sourd, le muet, l’aveugle, le paralytique, le Lazare mort, le possédé : tout cela ensemble est dans l’âme malade.

 

 

 

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