Dossier de travail - Fragment n° 26 / 35 – Papier original : RO 487-2
Copies manuscrites du XVIIe s. : C1 : n° 23 p. 197 / C2 : p. 8
Éditions savantes : Faugère II, 391 / Havet XXV.109 bis / Brunschvicg 74 / Tourneur p. 305-1 / Le Guern 387 / Lafuma 408 / Sellier 27
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Transcription savante (origine : Recueil des originaux)
-------------------------------- une lettre de Philosophie Cette lettre avant le divertissement |
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felix qui potuit felix nihil admirari 2 |
280 sortes de souverain bien 3 dans Montagne |
Notes
1 Les Copies C1 et C2 ajoutent : « et ». P. Faugère a corrigé.
2 Les Copies C1 et C2 matérialisent le lien entre les expressions latines et l’expression 280 sortes de souverain bien dans Montaigne au moyen d’une accolade. Les éditeurs modernes transcrivent l’expression 280 sortes... sous les expressions latines sans tenir compte des Copies. L. Brunschvicg regroupe les deux expressions latines en « Felix qui potuit... Nihil admirari ».
3 L. Brunschvicg : « souverains biens ».
Premières éditions et copies des XVIIe - XVIIIe siècles et du début du XIXe
Port-Royal ne conserve pas ce texte.
La copie Périer ne le reproduit pas.
1er éditeur : V. Cousin en reproduit une partie (à partir des Copies) dans son Rapport (1843), p. 250 :
Une lettrede la folie et de la science humaine et de la philosophie.
Cette lettreavant le divertissement.
Remarque
E. Havet ajoute trois points de suspension au début du texte. Il ne transcrit ni les expressions latines ni l’expression 280 sortes de souverain bien dans Montaigne.